L’époque précise
▼
L’Époque prÉcise de la fin
des derniers tempS
Les Révélations de Jésus-Christ
à Soeur de la Nativité
Cet article examine les prophéties de Sœur de la Nativité, une prophétesse du XVIIIe siècle, concernant la fin des temps, le jugement des nations et le Second Avènement du Christ. Les visions de la sœur suggèrent que cet événement aura lieu à l'aube du XXIe siècle, potentiellement dans les premières décennies, peut-être autour de 2030 au plus tard. L'article se base sur les écrits de l'abbé Genet, confesseur de la sœur, dont les ouvrages ont reçu l'approbation ecclésiastique.
Une Prophétie pour Notre Temps
Que signifie « l’époque précise » ? Loin d’annoncer une date exacte, ce terme désigne une période située au début du XXIe siècle. À travers les visions de Sœur de la Nativité, Jésus-Christ a révélé des détails cruciaux sur la fin des temps, adressés spécifiquement à notre génération. Découvrez comment ces prophéties, validées par les autorités ecclésiastiques, nous interpellent aujourd’hui.
Qui Était Sœur de la Nativité ?
Une Vie de Sainteté
Jeanne Le Royer, connue sous le nom de Sœur de la Nativité, est née le 24 janvier 1731 à Beaulot, près de Fougères (Bretagne). Entrée en 1752 dans la Communauté des Urbanistes de Fougères, elle mena une vie de grande piété, marquée par :
• Des visions mystiques et des révélations divines.
• Le don de prophétie, prédisant notamment la Révolution française, la mort de Louis XVI et les persécutions religieuses.
• Une humilité profonde et une connaissance théologique remarquable, malgré son absence d’éducation formelle.
Elle s’éteignit en 1798, en odeur de sainteté, à l’âge de 67 ans. Ses révélations, consignées par l’abbé Genet dans quatre volumes de plus de 500 pages chacun, reçurent l’approbation de nombreux théologiens, évêques et vicaires généraux.
L’abbé Genet écrit à son sujet :
« Sans lettres, sans éducation, elle a égalé, peut-être même surpassé, dans ses écrits, tout ce que les autres avaient fait de plus admirable en genre d’inspiration ou de spiritualité. »
Ses contemporains la considéraient comme un « prodige de son siècle », et son corps, exposé après sa mort, attira des foules en quête de miracles. Ces témoignages renforcent la crédibilité de ses visions, en particulier celles concernant la fin des temps.
Après de tels éloges et une telle vie, ne serait-ce pas bien téméraire et injuste de mettre en doute la droiture de Sœur de la Nativité et le caractère surnaturel des révélations ? Visiblement nous nous trouvons ici en présence d’une âme d’une très haute spiritualité, d’une grandeur exceptionnelle et inspirée par Dieu, comme il n’y en a qu’une ou deux par siècle.
Nous pouvons donc avoir confiance dans ses révélations. Révélations qui furent nombreuses comme en témoignent les 4 volumes qui leur furent consacrés par l’Abbé Genet.
Une Prophétesse des Derniers Temps
Sœur de la Nativité a été, surtout et principalement la prophétesse des événements des derniers temps plus de deux siècles à l’avance !
Dans cet article, nous ne présenterons qu'une infime portion de ses visions, mais une partie d'une importance capitale, puisqu'elle nous concerne directement, comme mentionné précédemment : Ses révélations et prophéties sur la fin des temps, transmises par Notre Seigneur, s'adressent spécifiquement à une génération précise, celle qui sera présente à l'aube du XXIe siècle... donc la nôtre !
Une Préparation Divine pour l’Église
« LE SEIGNEUR DIEU ne fait rien sans révéler son secret à ses serviteurs les prophètes. » (Amos 3, 7)
Pour le Premier Avènement de Jésus-Christ, le Messie, Dieu a préparé son peuple plusieurs siècles à l’avance en révélant son secret à ses serviteurs les prophètes (Cf. Isaïe 7, 14 ; Matthieu 1, 23 ; Daniel 9, 24-26) afin de préparer la génération de cette époque précise à accueillir son Messie.
DE MÊME, pour Son Second Avènement, Notre Seigneur Dieu prépare son peuple, car c’est une constance de sa fidélité et de sa grande miséricorde envers ses enfants dont la foi est vivante.
Dieu a toujours averti les hommes des jugements à venir, toujours ! Ceux qui, pour leur époque, ont cru ses messages, ont obéi à la foi et ont observé ses commandements, ont échappé aux jugements qui sont tombés sur ceux dont les cœurs étaient pervertis et qui restaient obstinément dans la désobéissance divine.
Parallèles Bibliques
Noé a été averti : il fut sauvé avec sa famille pour avoir cru et obéi à Dieu (Gn 7, 1)
Lot a été averti : il fut épargné grâce à sa foi, contrairement à ses gendres incrédules (Gn 19, 14).
L'Eglise primitive de Jérusalem a étét avertie : elle échappa à la destruction grâce aux avertissements du Christ (Luc 21, 20-22).
De même que le Christ a donné des instructions de vigilance pour l’Eglise de Jérusalem du temps des Apôtres afin d’échapper à ce jugement :
De même le fait-Il pour l'Eglise de la fin des temps afin qu'elle soit préservée du jugement qui vient sur le monde : Car « LE SEIGNEUR DIEU ne fait rien sans révéler son secret à ses serviteurs les prophètes.» (Amos 3, 7). Dieu est fidèle, Il prévient TOUJOURS son peuple des jugements à venir.
Ainsi, par les nombreux messagers de Dieu et principalement par Notre Dame lors de ses apparitions, nous sommes également avertis du jugement qui vient, de la destruction qui doit s’abattre sur le monde et de la seconde venue du Christ pour instaurer son Règne sur la terre !
Il semble donc très évident que notre Seigneur a voulu prévenir tout d’abord Son Eglise, les membres du Corps Mystique du Christ, en nous révélant son secret par cette âme privilégiée qu’est la Sœur de la Nativité et bien d’autres messagers c’est évident. Et ensuite, par eux, prévenir les Chrétiens « endormis » et le monde de l’approche du jugement de la fin des derniers temps et de Son Second Avènement, afin que tout le peuple chrétien de cette fin des temps, aujourd’hui bien dégénéré comme le fut pareillement le peuple Juif lors de son premier avènement, se réveille, reprenne santé et vigueur, et par une vie évangélique authentique, puisse se préparer à recevoir son Sauveur et Juge, non dans l’appréhension d’un jugement personnel, mais dans la joie et l’espérance radieuse de son infinie miséricorde.
« Je viens bientôt. Tiens ferme ce que tu as, pour que nul ne te prenne ta couronne… Heureux celui qui garde les paroles de la prophétie… » (Ap 3, 11 & 22, 7)
LES PRÉPARATIFS
DU JUGEMENT DES NATIONS
Une nuit, dit Sœur de la Nativité, qu’en dormant je me figurais être sur une montagne ou je venais d’arriver en fuyant encore le monstre, je remarquai d’abord un beau ciel et bien étoilé ; mais bientôt après j’aperçus des signes épouvantables du côté de l’Occident, je vis un espace immense parsemé de civières, de cercueils, de têtes et d’os de morts, de chandeliers, de sentences funèbres ; en un mot, tout cet espace était comme un grand drap mortuaire.
Soeur de la Nativité continue :
Du côté du midi parut l’archange saint Michel couvert d’une armure formidable ; un glaive étincelant dans la main droite, il tenait de l’autre d’énormes balances qu’il laissait descendre vers la terre, et je compris que c’était l’appareil et les préparatifs du jugement dont les temps approchent ». (T. 1, pp. 313-314)
Je vais encore vous rapporter ce qui m’arriva à la même occasion. Jésus-Christ m’apparut en forme humaine et très sensiblement pendant mon action de grâce, après ma communion. Il était debout auprès de la Sainte Table : je le vis allonger son bras droit en me regardant fixement, comme pour me montrer quelque objet du bout du doigt. Je ne voyais point ce qu’il paraissait m’indiquer, et j’ignorais ce qu’il voulait par là me faire comprendre. Cependant il me regardait toujours et restait dans la même attitude… Seigneur, mon Dieu, que voulez-vous me dire ou me faire entendre, lui demandai-je ?… Je vous montre mon jugement qui approche, me répondit-il, et il disparut … (T, 1, p 355)
Notre-Seigneur lui fait connaître
L’ÉPOQUE PRÉCISE
de la fin des derniers temps
▼
Je me suis trouvée plus d’une fois, au moins en esprit, dans cette vaste campagne dont je vous ai déjà parlé.
Un jour que j’y étais seule, et avec Dieu seul, Jésus-Christ m’apparut, et, du sommet d’une colline, me montrant un beau soleil attaché à un point de l’horizon, il me dit d’un air triste : « La figure du monde passe, et le jour de mon dernier avènement approche. Quand le soleil est à son couchant, poursuivit-il, on dit que le jour s’en va et que la nuit vient… Tous les siècles sont un jour devant moi ; jugez donc de la durée que doit encore avoir le monde, par l’espace qui reste encore au soleil à parcourir.»
Je considérai attentivement, et je jugeai qu’il ne restait au plus qu’environ deux heures de hauteur au soleil. J’observai aussi que le cercle qu’il décrivait tenait un certain milieu entre les jours longs et les jours courts de l’année.
Voyant que Jésus-Christ ne me paraissait point opposé au désir qu’il me donna sans doute de lui faire des questions sur certaines circonstances de cette vision frappante, je me hasardai de lui demander si le jour dont il me parlait devait se compter d’un minuit à l’autre, ou du crépuscule du matin à celui du soir, ou bien du soleil levant au soleil couchant.
Sur cela il me répondit : Mon enfant, l’ouvrier ne travaille que durant que le soleil est sur l’horizon ; car la nuit met fin à tous les travaux. Malheur à celui qui travaille dans les ténèbres, et qui n’aura point profité de la lumière du soleil de justice qui s’était levé pour lui. C’est donc, ma fille, depuis le soleil levant jusqu’au couchant, qu’il faut mesurer la longueur du jour… N’oubliez pas, ajouta t-il, qu’il ne faut plus parler de mille ans pour le monde ; il n’a plus que quelques siècles en petit nombre de durée. [Ceci est dit en 1780]
Mais je vis dans sa volonté qu’il se réservait, à lui-même la connaissance précise de ce nombre, et je ne fus pas tentée de lui en demander davantage sur cet objet... (T, 1, pp. 311-313)
Sœur de la Nativité, choisie de Dieu dès son enfance
pour avertir les pécheurs de l'approche
de la fin des derniers temps,
voit dans la lumière de Dieu dans quelle période arrivera
LE JUGEMENT DES NATIONS
« Je vous ai choisie dès votre enfance, et cela par égard pour les pécheurs, afin d'en arrêter la multitude qui tombe tous les jours en enfer. Il y en a qui s'étonneront de tout ce que je leur annonce, et des avertissements que je leur fais donner. Qu'ils ne s'en étonnent point ; voici encore un nouvel avertissement: le jugement général est proche, et MON GRAND JOUR ARRIVE. Je fais donner ces avertissements aux pécheurs afin qu'ils se convertissent, et c'est pour cette raison que je fais paraître ceci.
Je vous redis donc encore : Oui, le jugement approche ; Hélas, Hélas, Hélas! Que de malheurs à son approche ! Que d'enfants périront avant de naître ! Que de jeunes gens de l'un et l'autre sexe seront écrasés par la mort au milieu de leur course ! Les enfants à la mamelle périront avec leur mère. Malheur alors aux mondains, malheur aux personnes de mauvaise vie, enfin malheur à tous les pécheurs qui vivront encore dans le péché sans en avoir fait pénitence!»
[Note : N’avons-nous pas l’impression d’entendre les mêmes paroles que celles de Dieu adressées à Noé avant le jugement des nations par le Déluge ?! D’ailleurs Notre Seigneur ne dit-Il pas en parlant de Son Retour : « Ce qui arriva du temps de Noé arrivera de même aux jours du Fils de l’homme. Les hommes mangeaient, buvaient, se mariaient et mariaient leurs enfants, jusqu’au jour où Noé entra dans l’arche; le déluge vint, et les fit tous périr…. Il en sera de même le jour où le Fils de l’homme paraîtra. » (Mt 17, 26,27, 30)]
Quand Notre Seigneur dit, continue Sœur de la Nativité, que le jugement est proche, c'est que tout est proche devant Dieu ; et quand il dit que son grand jour arrive, ce n'est pas qu'il arrive si brièvement ; mais voici ce que j'ai connu en Dieu sur le jugement. Je me trouvai en la présence de Dieu. J'entendis une voix tonnante qui disait :
Malheur, malheur, malheur au dernier siècle !
Je compris, par cette voix puissante, que ces malheurs étaient ceux qui arriveraient aux approches du jugement, et au jugement même. Je ne dis mot ; et comme le Seigneur m'a fait connaître que nul homme sur la terre ne saura positivement quel jour ni quelle année le fils de l'homme descendra sur la terre pour juger tous les hommes, je n'en demandai pas davantage.
Mais voici ce que Dieu voulut bien me faire voir dans sa lumière. Je commençai à regarder dans la lumière de Dieu le siècle qui doit commencer en 1800 ; je vis par cette lumière que le jugement n'y était pas, et que ce ne serait pas le dernier siècle. Je considérai, à la faveur de cette même lumière, le siècle de 1900, jusque vers la fin, pour voir positivement si ce serait le dernier. Notre Seigneur me fit connaître, et en même temps me mit en doute si ce serait à la fin du siècle de 1900, ou dans celui de 2000. Mais ce que j'ai vu, c'est que si le jugement arrive dans le siècle de 1900, il ne viendra que vers la fin ; et que s'il passe ce siècle [de 1900], celui de 2000 ne passera pas sans que le jugement arrive, ainsi que je l'ai vu dans la lumière de Dieu. (T. 4, pp. 125-126)
En conséquence, selon les révélations du Christ
à Sœur de la Nativité :
Puisque nous avons dépassé la fin du siècle 1900
et que le jugement n’est pas venu,
le siècle de 2000 est le dernier siècle.
Ce siècle ne passera donc pas sans que
le jugement n’arrive !
De ce fait, le jugement devrait venir dans les premières décennies de notre siècle de 2000 puisque Sœur de la Nativité précise bien : « Mais ce que j'ai vu, c'est que si le jugement arrive dans le siècle de 1900, il ne viendra que vers la fin ; et que s'il passe ce siècle [de 1900], celui de 2000 ne passera pas sans que le jugement arrive, ainsi que je l'ai vu dans la lumière de Dieu »
Ainsi, comme le jugement n’est pas arrivé à la fin du siècle de 1900, il doit forcément arriver dans les premières décennies de l’an 2000 et non au-delà. Voici pourquoi avec d’autres indices.
Premier indice :
Souvenons-nous que le Christ, parlant de sa mort et de sa résurrection à ses disciples, disait :
« Voici que nous montons à Jérusalem, et le Fils de l’homme sera livré aux grands prêtres et aux scribes ; ils le condamneront à mort et le livreront aux païens pour être bafoué, flagellé et mis en croix ; et le troisième jour, il ressuscitera. » (Matthieu 20, 18-19)
Or, en ce qui concerne ces TROIS JOURS, seulement deux jours ont été pleinement accomplis, mais pour ce qui est du troisième jour, celui-ci ne fut pas complètement accompli comme il est écrit :
« Le premier jour de la semaine [donc le dimanche pour nous], elles [Marie de Magdala, Marie, mère de Jacques, et Salomé] se rendirent au sépulcre, de grand matin, comme le soleil venait de se lever… l’ange leur dit : N’ayez pas peur ; vous cherchez Jésus de Nazareth, qui a été crucifié ; il est ressuscité… Jésus, étant ressuscité le matin du premier jour de la semaine… » (cf. Marc 16, 1-9)
Les quatre évangiles indiquent la période précise
de la Résurrection du Christ :
À L’AUBE DU TROISIÈME JOUR,
DE GRAND MATIN,
LE SOLEIL VENAIT DE SE LEVER…
Faisons une première conclusion provisoire en rapport avec la période précise de la résurrection de Notre Seigneur et de la vision du soleil qu’a eue Sœur de la Nativité dévoilant la période précise du dernier siècle (donc comme nous l’avons vu, le siècle de 2000) où aura lieu le jugement des nations et l’Avènement du Christ :
Le Christ ressuscite à l’aube du troisième jour, de grand matin, au levé du soleil ; Sœur de la Nativité voit dans la vision du soleil le DERNIER SIÈCLE où aura lieu le jugement des nations et l’Avènement du Christ et nous savons qu’il s’agit du siècle 2000, celui dont Jésus-Christ a dit à la Sœur : « Malheur, malheur, malheur au dernier siècle ! Je compris, par cette voix puissante, que ces malheurs étaient ceux qui arriveraient aux approches du jugement, et au jugement même. »
Ainsi donc, ne pouvons-nous pas concevoir que ces malheurs « aux approches du jugement, et au jugement même » pourraient s’accomplir À L’AUBE du dernier siècle c’est-à-dire dans les premières décennies de l’an 2000 ?
Deuxième indice :
Voici également pourquoi nous pensons, selon ces révélations, que le jugement des nations et le second Avènement du Christ aura lieu à l’aube de l’an 2000 :
Dans la vision du soleil, la Sœur de la Nativité a vu que le jour n’avait plus que deux heures environ de durée c’est-à-dire deux siècles pour le monde. Environ, dit-elle, cela peut à juste titre se traduire par PLUS ou MOINS. Ce pourrait donc être MOINS de deux siècles, et dans ce cas, ce serait à la fin de 1900. Or, nous savons comme nous l’avons vu plus haut que le jugement n’est pas arrivé dans la fin de ce siècle de 1900 puisque nous en sommes les témoins. Ce pourrait donc être PLUS de deux siècles, disons deux siècles et demi tout au plus (250 années), mais non trois siècles entiers puisque que ce sera À L’AUBE du dernier siècle qui est celui du XXIe siècle, le nôtre donc. Et comme elle a eu cette vision vers 1780, ce qui nous mènerait à 1780 + 250, soit en 2030 au plus tard et peut-être même avant cette date !
Conclusion :
Une Date Ultime : 2030 ?
Les révélations de Sœur de la Nativité, confirmées par l’Église, nous invitent à nous préparer spirituellement pour le jugement des nations et le Second Avènement de Notre Seigneur. Si ces événements sont proches, comme le suggèrent ses visions, 2030 pourrait marquer une échéance cruciale. Comme le Christ l’affirme :
« Je viens bientôt. Tiens ferme ce que tu as, pour que nul ne te prenne ta couronne » (Ap 3, 11).
A découvrir aussi
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 352 autres membres